Bonjour. Quand vous consultez ce site, vous savez que nous cherchons, outre à comprendre le fonctionnement de l'être psychique, celui aussi de la dimension spirituelle de l'être humain. Fréquemment, je cite des auteurs, des pensées, qui me semblent exprimer un peu de la Grande Vérité. Pour autant, je ne laisserai pas passer, des contre vérités. Dans la rubrique " DOSSIERS " vous trouverez je l'espère quelques bribes de ce que l'on nomme LA CONNAISSANCE. de toute évidence, la part qui m'échoit est bien mince mais elle a le mérite d'être vécue. Ce matin, en lisant le TANYA, page 56, je suis restée sans voix!!!! Comment peut on encore enseigner de cette façon!!! Voici succinctement ce que j'ai découvert, et qui m'a profondément
ndéçue.
" L'âme Divine, est spécifique aux Juifs!!! alors que l'âme animale existe également chez les non Juifs!!!!! " L'âme d'un Juif est à proprement parler, une partie de Dieu "
Cette âme divine ne trouve nullement son équivalent auprès des autres nations!!!!!!!!!! J'en reste baba!!!! Il n'y a pas si longtemps, on niait l'âme des femmes celle des Peaux Rouges, on discutait du sexe des Anges, l'inquisition a fait des ravages, et retardé l'évolution de l'homme spirituel. Je ne peux écrire ici les lettres hébraïques, ce sera donc en Français. DAATH, c'est la connaissance, donc la GNOSE. En Hébreu, le Ayin, lettre du milieu, signifie l'oeil. Quand on supprime le Ayin, on a DAT, qui signifie la religion. Nous avons aveuglé DAATH, nous avons dissimulé la CONNAISSANCE. Voilà, ce qui
arrive quand l'homme se mêle de ce qu'il ne connaît pas. Mes chers amis, plus j'avance sur le Sentier, plus ma vie s'allonge, plus je crois qu'apporter les preuves de la survivance de l'âme est absolument nécessaire. J'ai beaucoup appris, en étant médium spirite, et beaucoup compris en étudiant les grands Yoguis. Aussi, est il urgent de faire tomber tous ces murs de l'ignorance. Je suis d'autant plus peinée d'une telle découverte que ma vie a toujours été marquée par des affections Israélites. Bonnes vacances à tous ceux qui partent. LISA