Bonjour. Dans les années 80 je vivais encore dans un petit studio dans le Marais. Nous étions 3 amis, inséparables. Une fois par semaine, à tour de rôle nous dînions, chez l'un de nous, et les autres sorties resto ainsi que des activités artistiques. Je me rendais donc à la Bastille chez Richard, après ma journée de travail, nous étions vraiment bien ensemble avec Janine Pourtant, quand je revenais chez moi, c'était toujours à pieds, mais les chaussures à la main. En effet ceux ci gonflaient d'étrange façon hors je ne souffrais d'aucun problème de santé, ni même de problème veineux. Une fois deux fois trois fois!!!!! Je décide de rechercher la cause de ce désordre. A la vérité, en montant les escaliers, j'éprouvais de curieuses sensations, il me semblait que les murs exsudaient d'étranges
imprégnations, gluantes, lourdes, collantes, sales, hors les volées d'escalier étaient bien entretenues! Dès que je m'installais dans l'appartement de Richard mes pieds enflaient, et je devais quitter mes chaussures, sans pouvoir les rechausser pour le retour. Me concentrant sur le problème, en voyance, je capte ce qui fut pendant de nombreuses années le lieu de travail, d'une dame de petite vertu, le quartier de la Bastoche avec toute sa misère ouvrière du 19 ème siècle, et du 20 ème. Ces femmes, montant et descendant avec le client, avinées, déchues, peut être même droguées déjà!!! C'est surtout l'odeur du "rouquin" qui finit par me donner vraiment la nausée. Plus fortes étaient les sensations, au fur et à mesure de mes visites. J'ai donc proposé à Richard, de dégager les lieux, Janine elle vivait la chose différemment, ses penchants désastreux étaient accentués, et son
comportement finit un soir exactement comme une roulure du siècle passé. J'ai effectué le dégagement psychique des lieux, cela n'a pas été facile!! J'ai su que plus rien ne restait des rémanences quand j'ai conservé mes chaussures, toute la soirée, et que je rentrais chez moi, normalement chaussée. Richard aussi subissait l'influence perverse, la violence s'installait en lui, et la vulgarité de son langage commençait à faire tâche. Cela vous paraît exagéré? Sachez que pour la décence je m'abstiens de dire certaines choses!!!!!!!! Bonne journée amis. LISA