Bonjour. La médiumnité spirite, a toujours été décriée, au travers des civilisations elle a supporté beaucoup de souffrances. S'il est vrai qu'elle ne peut être érigée en religion, il est aussi vrai qu'elle est une assise solide sur le chemin spirituel. Pouvoir apporter la preuve que l'âme survit au corps, c'est aussi ouvrir le coeur et l'esprit à nombre d'entre nous, simples mortels. Comme je l'ai mentionné à plusieurs reprises ce n'est pas une fin en soi, mais, une espérance d'ont il serait fou de vouloir se priver. Bien sûr, les religions établies préfèrent occulter ces plans de conscience, pour de mauvaises raisons! Moi, je suis heureuse et fière d'être en mesure de délivrer des messages de l'au delà qui peuvent dans leur simplicité inciter nos consciences se tourner vers un ailleurs qui viendra inéluctablement. Comprendre que lesprit est impérissable c'est plus facile quand nos décédés viennent à nous pour apporter leur contribution et nous conforter sur le dur chemin de notre évolution spirituelle. Nous devons penser aux âmes afin de les éclairer car arrivées dans l'astral que j'appelle ordinaire, beaucoup beaucoup de travail les attend!!!!! Plus nous nous développons dans la con- naissance des lois spirituelles plus ces âmes apprennent à travers nous, ainsi nous aussi nous bénéficierons de l'enseignement, des guides des maîtres des saints et autres thaumaturges, qui pourront se rapprocher de nous pace que nos vibrations seront plus rapides, nos fluides plus légers, c'est un échange continuel entre les mondes, je trouve cela vivifiant, sachez qu'à chaque fois que vous priez, que vous vous vous instruirez une âme de l'au delà sera au-dessus de votre épaule pour étudier aussi avec vous, car l'astral ordinaire, c'est le double de notre vie sur
terre, il est donc impératif de ne pas s'y attarder! La LUMIERE est encore très éloignée. Quand je faisais mes conférences, dans un passé récent, plusieurs heures avant des entités communiquaient avec moi sachant que ce jour là j'allais rencontrer dans le public des personnes quelles désiraient joindre. Cela ne peut s'inventer, au début j'inscrivais les communications, puis j'ai cessé, me souvenant parfaitement des messages. Très souvent aussi, elles m'accompagnaient sur le chemin, dans le métro et dans la rue, mais toujours de ma part en pleine conscience, donc sans danger de perdre les pédales, en me perdant sur le parcours. Bonne journée à vous tous. LISA